Un an après, Haïti enfoncée dans une crise sans précédent : le Conseil Présidentiel de Transition CPT en échec

Le premier anniversaire du Conseil Présidentiel de Transition (CPT) hier 25 avril 2025, a révélé une situation préoccupante pour Haïti, marquée par l’incapacité du gouvernement de gérer la crise humanitaire et sécuritaire du pays. Un an après la prise de pouvoir par le CPT, les Haïtiens continuent de faire face à des conditions de vie extrêmement difficiles, avec la peur, la faim et le manque de sécurité qui dominent leur quotidien.

En effet, après la prise du pouvoir du Conseil Présidentiel deTransition, le Premier ministre haïtien Alix Didier Fils-Aimé et les institutions qui ont pou devoir de servir le pays an matière de sécurité sont incapables pour résoudre cette crise qui est le véritable bourreau du peuple haïtien.

Les chiffres sont alarmants : en dépit de la situation catastrophique du pays, le coût mensuel pour le trésor public lié au fonctionnement du Conseil Présidentiel Transition (CPT) estimé à 13,5 millions de gourdes sans oublier de fortes somme débloquer pour résoudre l’insécurité des sommes considérable qui suscite des critiques alors que la population est plongée dans la misère.

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Le nom de ces neufs président : Edgard Leblanc Fils, Smith Augustin, Louis Gérald Gilles, Fritz Alphonse Jean, Laurent St-Cyr, Emmanuel Vertilaire, Lesly Voltaire, Régine Abraham, Frinel Joseph, l’incapacité de ces autorités à résoudre la crise sécuritaire, exacerbée par l’essor des gangs et l’insécurité généralisée, demeure l’un des plus grands échecs du gouvernement actuel en rappel Le CPT a été mis en place après l’assassinat du président Jovenel Moïse en juillet 2021, avec la promesse de restaurer l’ordre et d’organiser des élections. Cependant, un an après, l’organisation d’élections semble toujours hors de portée, et la situation sur le terrain se détériore.

Dans un accord politique signé en avril 2024 pour officialiser la transition du Conseil Présidentiel Transition (CPT) stipule que celle-ci devrait durer jusqu’en 2026, mais la question qui se pose est de savoir si Haïti pourra tenir jusqu’à cette date dans un contexte aussi dégradé.

La crise multidimensionnelle, qui touche tous les secteurs du pays, est exacerbée par la gestion désastreuse de la sécurité et l’incapacité des institutions à répondre aux besoins urgents de la population. Le départ du Premier ministre Ariel Henry en mars 2024, sous la pression des gangs et de la communauté internationale, ne fait qu’ajouter à la confusion et à l’instabilité qui caractérisent la situation actuelle.

En somme, un an après la mise en place du CPT, les Haïtiens sont toujours confrontés à une crise profonde, et les attentes concernant la transition politique se dissipent face à l’ampleur des défis non résolus.