
Décembre 2025
Le rappeur haïtien Daniel Darinus, connu sous le nom de scène Fantom, a été libéré en République dominicaine après avoir fait l’objet d’une arrestation suivie d’une procédure administrative pouvant mener à sa déportation vers Haïti.
L’information a été largement relayée sur les réseaux sociaux par Michaelle Durandis, qui a livré une version détaillée des faits dans une vidéo devenue virale.
Selon les déclarations de Michaelle Durandis, le Département dominicain de l’investigation aurait déjà complété un dossier administratif visant la déportation de Fantom.
Toujours d’après ses propos, l’artiste figurait sur une liste de personnes devant être expulsées le lundi 16 décembre 2025, avec remise aux autorités haïtiennes.
Aucune confirmation officielle n’a toutefois été rendue publique par les autorités dominicaines concernant le contenu exact de ce dossier.
Michaelle Durandis affirme que Philippe Malbranche, ancien consul d’Haïti et entrepreneur vivant de longue date en République dominicaine, aurait été informé de la situation par des sources informelles.
Selon elle, Philippe Malbranche aurait alors :
Un autre élément central évoqué concerne les biens de Fantom en République dominicaine.
Michaelle Durandis explique avoir indiqué qu’elle ne savait pas si l’artiste disposait de documents migratoires en règle, mais qu’il possédait :
La question de l’avenir de ces biens en cas de déportation aurait pesé dans la décision d’engager des discussions afin d’éviter une expulsion rapide.
Selon le récit livré dans la vidéo, Philippe Malbranche aurait engagé une négociation directe avec les autorités, estimant qu’aucune preuve formelle ne justifiait une détention prolongée ou une déportation immédiate.
À l’issue de ces démarches, Daniel Darinus a été libéré, sans qu’aucune charge pénale n’ait été officiellement confirmée à ce stade.
Dans son intervention, Michaelle Durandis a également adressé un message à l’artiste, l’appelant à :
Elle avance par ailleurs que, selon son analyse, les accusations pourraient provenir de sources haïtiennes, et non des autorités dominicaines, lesquelles ne connaîtraient pas suffisamment l’artiste pour être à l’origine des soupçons.
Enfin, Michaelle Durandis a profité de cette prise de parole pour réitérer son appel à la justice dans l’affaire Stephora, rappelant que ce dossier demeure, selon elle, une priorité absolue.
À retenir :






