Haïti Insécurité : La capitale Port-au-Prince plongée dans le chaos total

^{Samy Primeau, Port-au-Prince Haïti}

Pillages, incendies, meurtres, enlèvements : l’heure est grave. De nombreux quartiers autrefois animés sont aujourd’hui devenus impraticables. Des familles entières fuient sans destination précise, abandonnant maisons et biens dans l’espoir de survivre.

La coalition VIV ANSANM déploie toutes ses forces pour prendre le contrôle total de la capitale et semer la terreur partout. Incendies, pillages, vols, meurtres, les habitants quittent leurs maisons sans destination. Ce fléau est installé depuis près d’une décennie.

Port-au-Prince, la capitale d’Haïti sous la pression d’un groupe d’hommes armés qui se font appeler VIV ANSANM, ce qui ne cesse de mettre le pays dans une situation plus difficile pour les gens qui vivent et travaillent dans divers endroits de la capitale d’Haïti.

Depuis plusieurs années, le groupe qui s’appelle VIV ANSANM commet des actes malfaisants dans le département de l’ouest et ses environs qui ont laissé le pays dans une situation catastrophique et chaotique.

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Pillage, incendiement de maisons, meurtres, enlèvements, prise en otage de zones, fuite de maisons et massacres sont quelques-unes des actions qu’ils ne cessent de faire chaque jour des secteurs et quartiers infranchissables avnue N, avnue Christophe, au bas de avnue jan paul ll, rue marcelin, ruelle wagg, rue Roy, la fleur du chêne, rue cameau, lota jeremie, Carrefour-feuille, Croix desprez, Bariajou, avnue magloire ambroise, marché salomon, rue Nicolas, ruelle alerte, Edmond paul, rue Monsieur gilloux, Portail leogane, Solino, Christ-roi, une partie, nazon, fort national delmas 30 et plusieurs d’autres zones menacé et déjà attaqué. Sans oublier le territoire où se situent les bases de ces groupes criminels dans la partie sud de la capitale, croix des bouquets, Canaraan, bas delmas, centre ville, Mirbalais et le département de l’Artibonite.

En outre, après plusieurs raids de la Force Armée d’Haïti (FDH), de la Police Nationale d’Haïti (PNH) et de la Brigade de Sécurité des Aires Protégées (BSAP) et de la Mission Multinationale de Sécurité (MMS) de plus l’utilisation de drones kamikaze a soulevé la colère des groupes armés, et les attaques ont été menées à un niveau supérieur. Les bandits franchissent les murs des maisons en utilisant des drones pour contrôler les zones et tendent des pièges aux véhicules blindés chaque fois que les forces de l’ordre sont en opération.

Tous ces dégâts sont enregistrés alors que les autorités chargées des questions de sécurité semblent impuissantes face à la situation désastreuse à laquelle le pays est confronté au quotidien. Le Conseil présidentiel de transition (CPT) installer depuis l’année dernière à juré d’établir la paix et d’organiser des élections dans le pays, mais cela reste un mystère pour le CPT et le Premier ministre Didier Fils Aimer. Des mouvements de protestations par des habitants de la capitale pour exiger la démission du pouvoir en place selon lui qui estime ne pas être à la hauteur de la tâche de résoudre la crise d’insécurité qui secoue la capitale depuis plusieurs années déjà qui explique le chaos total en Haïti.